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30/01/2012

Nous recherchons...

 

Fleuve Noir Anticipation ( 1951 – 1967 )

 

Si quelque part, dans un coin de grenier oublié ou au sein d’un vieux carton prenant la poussière sur une armoire, vous possédez quelques N° de la fameuse collection « fusées » de chez Fleuve Noir, (fusées rouges ou bleues sur la tranche, bande jaune frappée de l’estampille « Anticipation » en bas de couv’ et les célèbres couvertures de Brantonne !), et que vous souhaitez faire un peu de place… n’hésitez pas à nous contacter !

Notre collection compte pas mal de « trous » et nous serions ravis de pouvoir les boucher !

 

Liste complète des ouvrages parus dans ladite collection disponible ici >>>

http://forums.bdfi.net/viewtopic.php?pid=35599

 

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29/01/2012

Paypal / Facebook

 

Paypal & Facebook.

 

Je m’y attendais un peu ( voire même beaucoup ! Ha ha )…

Et j’avais entièrement raison de m’y attendre, puisque depuis que D.U.K.E est sur internénettes nous avons reçu pas mal de messages nous demandant :…

– Pourquoi nous n’avions pas Paypal !? ( C’est vrai quoi, tu parles d’une hérésie ! )…

– Pourquoi nous n’avions pas une page Facebook !?! ( Franchement… )…

And then, plutôt que de répondre 5 fois par semaine aux mêmes questions… je m’en vais expliquer tout ça une bonne fois, et – dorénavant – joindre le lien menant à cet article à chaque mail en entrance qui reviendra sur le ( lesdits ) sujet(s) en question.

 

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A) - Pourquoi ne peut-on pas payer via Paypal chez D.U.K.E…

 

Et bien primo, parce que Paypal c’est Peter Thiel !!!

A savoir : un multimilliardaire américain ( fortune personnelle estimée à 3 milliards de dollars ) membre du comité de direction du groupe Bilderberg ( un collectif de banquiers – genre Rockfeller – de grands patrons, de diplomates, d’hommes politiques et de « journalistes » soupçonnés de mettre leurs diverses sphères d’influences en commun pour modeler le monde à leur image via un contrôle étendu des médias ), engagé en politique auprès de Ron Paul ( un « anti-avortement » prônant la suppression totale du département de l’éducation ! )…

Et ( surtout ) le financier/mécène d’un mouvement « transhumaniste » désireux d’implanter des codes barres dans les embryons, de faire en sorte que les autres milliardaires puissent programmer l’apparence physique de leur future progéniture ou devenir de véritables « cyborg » ( mi-hommes mi-machines/électronique ) afin de pouvoir échapper à la mort et s’ériger en rois absolus d’un monde où ne cohabiteraient plus qu’une classe dirigeante de « post-humains » modifiés et les quelques milliards de « chimpanzés » ( pour reprendre leurs propres termes ) et d’esclaves que nous sommes ( que vos enfants seront ) à leurs yeux !!!!

 

Et que, de là, vous comprendrez aisément que même si je donne déjà ( par ignorance… et très certainement ) de l’argent à quelques-uns de ces dégénérés en allant faire mes courses ou en achetant tel ou tel produit de première nécessité… je me refuse de le faire en pleine connaissance de cause, et ( surtout ) pour quelque chose ( Paypal ) dont on peut très bien se passer !

 

D’autant que franchement qu’est-ce que ce fameux « Paypal » si ce n’est l’apologie de l’inutilité la plus absolue et de la plus crasse des fainéantises poussée à l’extrême !?!!

Si ce n’est payer 14x3 €uros = 42 €uros pour 3 vinyls ( par exemple ) vendus 14 €uros sur une e-shop équipée de Paypal où le vendeur majore ses prix de 1 ou 2 €uros pour se rembourser les frais demandés par ledit Paypal… alors qu’il suffirait de remplir un chèque et de le glisser dans une enveloppe timbrée à 60 cts pour ne payer les 3 mêmes vinyls que 3x12 = 36 + 0.60 = 36,60 €uros sur un site n’utilisant pas Paypal et ne majorant ( donc ) pas ses prix de vente !!!…

( Comment ne pas se rendre compte que le mec qui fait ça paye quasiment 6 €uros de plus pour trois malheureux vinyls ! ( Calculez vous-même à combien ça va se monter pour une commande de 10 ou 12 pièces ! ). Et ce uniquement parce qu’il a la flemme d’écrire trois lignes sur un chèque et de coller un timbre sur une enveloppe !?!??!!!! )…

 

( Et ne venez pas me sortir les fameux « oui mais ça gagne du temps » alors que la plupart des labels avec des « shops » proposant Paypal mettent 8 jours ( ou plus ! ) à expédier leurs commandes !?!! Tandis que chez D.U.K.E, elles repartent dans les 24 heures suivant la réception du chèque… et arrivent donc chez le client avant même que la plupart des autres distros n’aient seulement commencé à préparer le colis !…

Ne venez pas me parler de « sécurité » alors que tous nos envois sont effectués en colissimo(s) suivis, assurés et remis contre signature… et sont donc intégralement remboursés ( ou ré-expédiés, si les stocks le permettent ) en cas de perte ou de vol !!! )…

 

D’autant plus que… de toutes manières… et pour ceux que ça emm… vraiment de faire un chèque ; nous proposons également la possibilité de payer par virement bancaire !!!

( Mais bon, là aussi, c’est un poil plus long que de « cliquer sur la touche Paypal » !?! )

( Fainéantise… fainéantise et juste fainéantise… poussée jusqu’à l’absurde !!! ).

 

Et deuxio… parce que merde ! Oui MERDE… j’en ai un peu marre !!!…

Marre de vivre dans un monde où les pompistes et les caissières de péages d’autoroutes sont remplacées par des machines aux voix robotiques… marre de devoir taper 5 fois sur la touche « étoile » de mon téléphone pour entendre un robot me dire combien il me reste sur mon compte en banque… marre de devoir attendre 5 minutes à la caisse qu’un ordinateur à la con calcule combien la postière doit me rendre de monnaie pour 2 timbres à 60 centimes payés avec une pièce de 2 €uros… etc… etc… etc…

Parce que je préfère discuter avec mon épicier ou mon boulanger que commander ma bouffe sur internet… parce que – même au supermarché – j’aime bien prendre le temps de plaisanter un peu avec le boucher, la vendeuse de fromage ou la caissière et voir son visage figé par l’ennui s’illuminer d’un sourire…

Parce qu’on est pas des machines… qu’on aime bien, le matin, aller chercher notre courrier, et découvrir des commandes accompagnées d’une petite lettre sympa’, voire discuter métal au téléphone ( ou par e-mail )… et que devenir un préparateur de colis à la chaîne, sans aucun contact humain, ( et en attente des ordres d’expéditions en provenance de chez Paypal ) ne nous intéresse pas et ne nous intéressera jamais !!!!!…

 

Alors foutre… que ceux et celles qui n’ont même plus la force ( ni « l’herculéen courage » ) de rédiger un chèque, de faire un virement ou de coller un timbre sur une enveloppe… continuent à utiliser Paypal ! Qu’ils continuent à engraisser Mr Thiel et ses amis afin qu’ils puissent ( un jour ) régner sans partage sur la planète de « chimpanzés » que peupleront leurs enfants ! Et qu’ils commandent leurs disques ( ou leurs MP3 !?!! Ha ha ) chez qui bon leur semble !

( Rien à foutre !!! )…

 

Mais pas chez D.U.K.E !

Car en ce qui nous concerne, désolés : nous ne donnerons jamais un rond à ces gens là !!!…

Nous continuerons ( ad vitam aeternam ) à éditer des catalogues « papier » bien plus riches que leurs versions internénettes et à réserver ceux-ci à ceux et celles qui feront l’effort de les demander… à répondre ( avec grand plaisir ) à tous ceux et toutes celles qui savent encore ce que le mot courrier veut dire… à tout faire pour que le facteur « humain » ne disparaisse pas totalement ( et tout de suite ) de ce monde en perdition !

Bref… à être ce que nous avons toujours été, à savoir un label UNDERGROUND… dans le plus pur sens du terme ! 

 

B) - Quant à ce qui en est de Facebook… c’est très simple : …

Le principal investisseur de cette saloperie se nomme : Peter Thiel !!!!!!!…

 

Kurgan.

( Un chimpanzé fier de l'être et qui n'espère qu'une chose : c'est que dans le futur, lorsque tous ces enfoirés seront à moitié cybernétisés et reliés à leurs ordinateurs, nos enfants chimpanzés auront un jour l'intelligence de leur couper l'électricité ! )

 

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Quelques extraits d’un excellent article intitulé :

« La vie humaine est une marchandise comme les autres… ».

Signé Christian Boucher, et paru dans : Réfléchir et Agir N°39 / Automne 2011.

 

Le 18 novembre 2010, les habituels lecteurs du journal « Human Reproduction » purent y lire une étude de chercheurs de l’université de Barcelone expliquant comment ils étaient parvenus à implanter dans des embryons un dispositif en silicium faisant office de code-barre. L’objectif annoncé de cette technique étant, nous assurait-on, de permettre de sécuriser et d’accélérer les processus d’assistance médicale et la procréation en identifiant plus vite les embryons et en améliorant ainsi le taux de réussite des implantations.

Fort bien. Mais était-ce vraiment le seul objectif de cette recherche ? Il semble bien que non et le terme de « code-barre », choisi volontairement par les scientifiques, laisse entrevoir une autre logique, celle de la « marchandise » et, au-delà de l’aide aux couples infertiles, la puce devrait surtout permettre des échanges, voire des ventes, entre laboratoires.

En effet, la possibilité de disposer d’embryons pucés, et donc très facilement identifiés quant à leur patrimoine génétique est de nature à faciliter grandement le travail de certaines cliniques américaines qui proposent des embryons « sélectionnés » aux couples les plus riches des Etats-Unis et du monde. Ceux-ci, qui dans neuf cas sur dix auraient pu concevoir de manière normale, s’offrent une fécondation in-vitro suivie d’une sélection des embryons afin de choisir certaines caractéristiques de leur descendance : le sexe, la couleur des yeux, des cheveux, la pigmentation de la peau et « plus encore »… sans que ces derniers termes ne soient explicités dans les brochures de présentation.

(…)

De plus dans les milieux ultra-libéraux des Etats-Unis, ainsi que dans l’hyperclasse mondiale, s’est développé depuis la fin du siècle dernier un surprenant courant de pensée : le transhumanisme. Celui-ci considère que certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, la vieillesse ou la mort ne sont pas inéluctables, mais peuvent être abolis par la science à condition d’y mettre le prix. Certains vont même plus loin et envisagent le dépassement de l’humain via les progrès techno-scientifiques. Ils professent l’idée que l’humanité se trouve au seuil de la transformation la plus radicale de son histoire.

Selon eux, l’homme pourra, demain, s’affranchir des limites de sa condition corporelle grâce à la convergence des technologies de pointe que sont les nano-technologies, les bio-technologies, les sciences de l’information et les sciences cognitives.

(…)

Parmi les recherches nourrissant cet espoir se trouve celui du « Human Brain Project » qui vise à simuler un cerveau sur un ordinateur et qui nourrit l’idée de la possibilité future de transférer le contenu du cerveau humain sur un ordinateur pour atteindre… l’immortalité !

Pour les tenants de cette utopie, le corps biologique n’est qu’une « viande anachronique » et un obstacle à dépasser pour créer le post-humain et la société du futur qu’un des théoriciens du transhumanisme annonce ainsi : « l’avenir est dans la fusion de l’homme avec la machine. Ceux qui décideront de rester humains et refuseront de s’améliorer auront un sérieux handicap. Ils constitueront une sous-espèce et formeront les chimpanzés du futur ».

La complexité des opérations de fusion humain-machine, leur coût prévisible aussi, laisse supposer, sans risque de se tromper, que dans l’esprit des transhumanistes peu nombreux seront les post-humains alors que les chimpanzés seront quant à eux légion. (…) L’idéologie transhumaniste est en effet une approche individuelle qui ne prend pas en compte l’ensemble de la société et qui s’enracine dans l’anarcho-capitalisme le plus libéral qui soit avec la perspective d’une humanité future divisée entre des « post-humains améliorés » d’un côté, issus de « l’élite mondiale », et les milliards d’êtres humains restés « à l’état naturel ».

C’est tout naturellement jacques Attali qui, en France, a fait la promotion du transhumain dans : « Une brève histoire de l’avenir », parue en 2006. Aux USA, un des principaux mécènes de ce courant est le libertarien Peter Thiel connu comme fondateur de Paypal et comme l’homme qui a financé la création des divers réseaux sociaux comme Facebook, Friendster et Linkedln, ainsi que des sites de partage de photos comme Slide.

Comme il n’y a jamais de hasard, Peter Thiel estime que « la liberté et la démocratie sont incompatibles » et est très proche des idées d’Alan Greenspan [1], un économiste très apprécié de Milton Friedmann, de Ronald Reagan et de Georges Bush qui fut, durant 19 ans, président du conseil de la Banque Fédérale Américaine et qui n’hésitait pas alors à déclarer : « dans un état idéal, il ne doit y avoir aucune régulation économique, tout doit pouvoir être privatisé sauf la police et l’armée ».

Peter Thiel est aussi l’un des financiers majeurs du mouvement des Tea Parties ( N.d.K : les ultra-libéraux, anti-sécu / protections sociales américains ! ), de la droite du Parti républicain et… des activistes de la communauté homosexuelle !?!    

  

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[1] Disciple d’Ayn Rand ( grande prêtresse du maccarthysme, qui déclara un jour : « je peux dire – et il ne s’agit pas d’une banalité patriotique, mais avec une connaissance complète des racines métaphysiques, épistémologiques, morales, politiques et esthétiques nécessaires – que les Etats-Unis d’Amérique sont le pays le plus grand, le plus noble et, dans ses principes, le seul moral de l’histoire du monde » )… et co-fondateur ( en 1950 ) de la communauté militante du « Collectif », toute entière dévouée à défendre les thèses d’un capitalisme le plus ultra-libéral possible ! )

 

paypal,facebook  

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28/01/2012

Que des futurs grands classiques...




25/01/2012

Crossroad

 

 http://www.calvinrussell.net/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Calvin_Russell

22/01/2012

Le véritable KING...

 

Allez, un peu de détente dominicale… avec le véritable KING !!!

 

Jerry Lee Lewis performs to a sold-out audience in Londons Labatts Apollo joined by a number of special guests, including Van Morrison, Dave Edmunds, John Lodge (Moody Blues), Brian May (Queen), Dave Davies (The Kinks) and many more.


20/01/2012

R.I.P Megaupload…

 

R.I.P Megaupload…

 

Ceux et celles qui, ce matin ( vendredi 20 janvier ) ont voulu télécharger notre catalogue « Livres et DVDs » ( sur le « Bouquinorium » ou le blog D.U.K.E ) ont dû s’apercevoir que c’était impossible… et – peut-être – se demander pourquoi !?

La réponse est simple, la « justice américaine » ( juste d’écrire ces mots on se demande si l’on doit rire, pleurer ou vomir !?! ) a décidé d’entamer sa grande et sainte croisade contre ( l’intolérable ) espace de liberté qu’était internet ! ( J’écris d’ores et déjà « était », ça m’évitera de devoir faire une mise à jour dans quelques mois ! )…

 

( D’un autre côté, avec un Bush membre des « born again christians » et sa volonté d’installer des Marines à Babylone pour lutter contre la future arrivée de la « Grande Bête »… un Obama membre de « l’église unifiée du christ »… et le futur trouduc qui lui succèdera et qui, d’après ce qui se dit, pourrait bien être mormon (!??), les « croisades »… on a pas fini d’en bouffer !?! )…

 

Et donc ( pour en revenir à nos moutons ) de débuter ladite croisade en s’attaquant ( comme de bien entendu ) à Megaupload, le fameux site de partage qui donnait des cauchemars aux jewrigeants de quelques « majors » et autres milliardaires du même genre ! ( Pensez-donc, 500 millions de perte – soit-disant – ça faisait quoi… au moins une journée de bénéfices !?! Moins de coke, moins de putes de luxe et de yachts à Ibiza… moins de ballets bleus et roses, moins de soutien à Israël… c’est clair qu’il fallait d’urgence que le F.B.I intervienne !!! )…

Ah ben oui… je sais… y’avait pas que des films « piratés » sur Megaupload…

Y’avait aussi nos catalogues « Livres et DVDs » ( justement ) ou le catalogue DUKE 21, ( uploadé jeudi et que je n’aurai même pas eu le temps de mettre en ligne, du coup ! )…

Y’avait des millions de dossiers tout sauf « illégaux », des millions de mecs qui y avaient uploadé leurs photos/vidéos de famille, des sauvegardes ( diverses ) de leurs documents personnels et/ou de leurs disques durs ( le F.B.I va pouvoir s’en donner à cœur joie ! ), des artistes qui utilisaient « MU » pour envoyer leurs press-books, des commerçants et des entreprises qui ( comme nous ) y mettaient des catalogues ( ou d'autres docs ) à télécharger, etc…

Des millions et des millions de mecs qui avaient pour la plupart – et de surcroît – payé pour s’acheter un compte « premium » ( plus rapide, plus pratique, plus de stockage ) et qui ne reverront jamais ni leurs données perdues… ni leur argent !

Mais que voulez-vous… les Israëluhessas et la France ( notre président n’ayant pas manqué d’être le premier – et le seul – à immédiatement se féliciter de la mort de Megaupload ) sont les « gardiens de la liberté » ( ha ha ) et viennent de le prouver de fort belle manière !

 

« Rien à foutre de vos données perdues… rien à foutre de votre pognon perdu… vous n’avez qu’à travailler plus pour gagner plus, acheter des DVDs Universal à 20 €uros à la FNAC et fermer vos gueules… esclaves et moutons que vous êtes ! Quelques « hackers » vont faire chier 2 ou 3 jours puis passeront à autre chose… la masse des cons va grogner une petite semaine durant… mais pas de problèmes, ils iront tous voter Sarko, Hollande ou Super-Mormon d’ici quelques mois et le petit train-train reprendra… comme si de rien n’était ! »…

Se sont-ils dit. Et ils ont bien raison : nous sommes des veaux !!!

 

Alors bon… je sais très bien que ces quelques lignes ne sont qu’une goutte d’eau ( totalement inutile ) dans un gigantesque océan d’apathie générale, mais foutre… je n’ai qu’une chose à dire aux quelques mecs qui me liront et ne sont pas encore totalement lobotomisés : répondez leur en tapant là où ça leur fait le plus mal !!!

Boycottez de manière totale le moindre produit portant l’estampille Univers-sale & cie ( N’achetez plus leurs CDs et DVDs ! N’allez plus voir leurs films au cinéma ! Etc… )…

Boycottez de manière totale le moindre produit en provenance plus ou moins directe des Israëluhessas ( d’autant que vous priver de Coca et de McDo ne vous fera pas de mal… bande de gras du bide ! Ha ha )…

Ne laissez plus un rond à ces enfoirés ! Et, quand viendra la période des élections… faites ce qu’il faut pour bien leur faire « passer le message » !!!

Sur quoi… je m’en vais de ce pas re-uploader les catalogues Livres (etc.) sur une ou deux autres plateformes de partage ( il y en a des dizaines, on a encore quelques mois de liberté devant nous !?! )…

( Pourquoi pas sur Mediafire tiens… c’est basé aux Texas et la « justice américaine » semble – en ce qui les concerne et paradoxalement – n’en avoir rien à foutre !? Doivent probablement financer les campagnes électorales de la famille Bush et de quelques autres politicards de l’état !?!! ).

Puis, dans les semaines à venir, me mettre en quête d’un site Russe ou Chinois de qualité… qui ne baissera pas son froc devant le F.B.I.

 

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Attention : …

Mises à jour des nouveaux liens effectuées ( Vendredi 20 / 18 heures ) : …

Ici >>> http://bouquinorium.hautetfort.com/catalogue-livres-telechargement-pdf/

Et ici >>> http://dieunaussprechlichenkulteneditions.hautetfort.com/catalogue-livres-telechargement-pdf/ 

 

r.i.p megaupload

r.i.p megaupload 

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Téléchargement illégal : MegaUpload est mort. Et après ?

 

Hier au soir, la justice américaine ordonnait la fermeture de dix-huit sites internet, dont celle du mastodonte du téléchargement illégal, Megaupload. Accusés de "la plus grande violation de la propriété intellectuelle de tous les temps", ses fondateurs, arrêtés en Nouvelle-Zélande, risquent jusqu'à vingt ans de prison.

Le manque à gagner occasionné par l'existence de megaupload serait, aux dires des enquêteurs, proche de 500 millions de dollars, soit l'équivalent de 388,2 millions d'euros. Le dixième de la somme a d'ores et déjà été saisi par la justice américaine, sur des comptes bancaires originaires de Washington, de Nouvelle-Zélande ou encore du Canada. 

 

Une réaction immédiate du collectif des "anonymous".

L'ire du collectif des "anonymous" ne s'est pas fait attendre. Ce vendredi, à minuit heure française, le site du ministère de la justice, celui de l'Universal Music Group (ennemi de Megaupload devant l'Eternel), de la Warner Music Group, d'Hadopi (y’a pas de raison), de la Recording Industry Association of America et de la Motion Picture Association of America étaient inaccessibles, car victimes d'une attaque informatique massive. Si l'ordre est revenu une heure plus tard, il aura fallu plus d'une heure aux services informatiques concernés pour rétablir lesdits sites. 

 Dans la nuit, Nicolas Sarkozy s'est également fendu d'un communiqué se félicitant de la décision américaine: "La lutte contre les sites de téléchargement direct ou de streaming illégaux, qui fondent leur modèle commercial sur le piratage des œuvres, constitue une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle et le renouvellement de la création", rapporte l'AFP.

 

Pourquoi cela ne sert à rien.

Ce gigantesque coup de filet, révélateur d'une coopération judiciaire internationale sans précédent, pose, au delà de sa force symbolique, la question de son utilité réelle face au problème du téléchargement illégal.

 Il semble évident que, dès aujourd'hui, fleuriront encore d'autres sites, qui engendreront d'autres sites, au gré des fermetures imposées par tel ou tel état. Megaupload, à la différence de ses concurrents, s'était imposé comme une institution: le fameux "you have watched 72 minutes of video today, please wait 30 minutes", serait-il en passe de devenir une phrase désuète... Voir vintage? 

Nous, générations nées après la chute du mur de Berlin, avons grandi dans l'instantanéité et ne nous en déferons pas. Les défunts Emule, Kazaa, Gnutella ont bercé nos enfances, et le téléchargement illégal fait partie de nos vies. Nous l'avons appris de nos parents, l'enseignons à nos cadets et ne nous posons même plus la question du "bien " ou du "mal", tant cette pratique est acceptée de tous. 

 

La Culture, ce bien si rare.

Les médias et le gouvernement ont trop tendance à oublier, dans leur vaste croisade moralisatrice contre la libre circulation des biens culturels, que des instruments tels que Megaupload sont parfois pour nous les seuls moyens d'accéder à des chef-d’œuvres que nous ne pouvons pas nous payer le luxe d'acheter. 

Rappelons que la fréquentation des salles de cinéma est en large hausse, comme le démontre le vif succès d'Intouchables, qui, malgré sa disponibilité sur internet, a dépassé les 18 millions d'entrées.

Je tire donc mon chapeau à Megaupload, qui m'aura fait découvrir Capra, Pabst, Fritz Lang, Fellini, Orson Welles, Chabrol, et tant d'autres magiciens du septième art. Repose en paix, géant du streaming, et reviens-nous vite.

 

Par Anne-Sophie Faivre Le Cadre

http://leplus.nouvelobs.com

 

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MegaUpload fermé : Sarkozy salue l'action du FBI.

 

Premier dirigeant à réagir hors des Etats-Unis à la décision de la justice américaine de fermer le site MegaUpload, Nicolas Sarkozy, qui se veut en pointe de la défense du droit d'auteur avec la loi Hadopi, s'est félicité de cette action dans la nuit de jeudi à vendredi.

La réaction de l'Elysée est intervenue très rapidement après l'annonce de la fermeture de MegaUpload.com, une des plus importantes plateformes de partage de fichiers sur internet, sur décision de la justice américaine. Dès la nuit de jeudi à vendredi, la présidence a diffusé un communiqué dans lequel Nicolas Sarkozy se félicitait de cette action.

"La mise à disposition illégale, par ce service, d’œuvres protégées par le droit d'auteur, permettait à ses promoteurs de réaliser des profits criminels sous la forme de recettes publicitaires ou d'abonnements de ses usagers", a expliqué l'Elysée dans un communiqué. Le chef de l'Etat a souligné "que la lutte contre les sites de téléchargement direct ou de streaming illégaux, qui fondent leur modèle commercial sur le piratage des oeuvres, constitue une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle et le renouvellement de la création. C'est le financement des industries culturelles dans leur ensemble qui est mis en cause par ce type d'opérateurs", a insisté le communiqué présidentiel, ajoutant que "le moment est donc venu d'une collaboration judiciaire et policière active entre Etats pour porter un coup d'arrêt à leur développement".

 

Par ailleurs, Nicolas Sarkozy "invite les ministres concernés ainsi que la Hadopi (Haute autorité chargée de la lutte contre le téléchargementillégal, ndlr), qui vient d'engager une consultation à ce sujet, à étudier rapidement l'utilité de compléter notre législation par de nouvelles dispositions".

La décision de la justice américaine est intervenue alors que tout le milieu américain du web est secoué par un débat virulent tournant autour de la liberté d'internet et de la défense du droit d'auteur. En cause : deux textes, le projet de loi SOPA (Stop Online Piracy Act) et le projet PIPA (Protect IP Act). Deux textes dont l'inspiration se rapproche beaucoup de celle de la loi Hadopi, votée en France en 2009, et qui prévoit des sanctions graduellement croissantes à l'encontre des utilisateurs d'internet qui ne respectent pas la législation sur les droits d'auteurs. Le débat américain trouve donc des échos en France - d'autant plus que Nicolas Sarkozy, qui se veut en pointe de la défense du droit d'auteur contre le téléchargement illégal, est allé récemment plus loin que la loi Hadopi, qui vise le seul téléchargement, en dénonçant les plates-formes permettant de visionner des films en streaming.

 

http://aliceadsl.fr/

r.i.p megaupload

15:17 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : r.i.p megaupload...

18/01/2012

MANARA & FELLINI : Voyage à Tulum

 

Milo MANARA & Federico FELLINI : « Voyage à Tulum »

 

Voyage à Tulum est une adaptation en bande dessinée d’un projet de Federico Fellini non abouti au cinéma mais qu’il avait publié en feuilleton en 1986 dans le journal italien Il Corriere della Sera avec, déjà, des illustrations de Milo Manara.

Le film aurait dû raconter le voyage entrepris par Fellini au Mexique à la rencontre des sorciers yaquis, de tradition toltèque, avec l’anthropologue Carlos Castaneda comme guide, mais rien ne se passe comme prévu. Castaneda ne se présente pas au rendez-vous fixé par le producteur. Fellini y rencontre entre autres Alejandro Jodorowsky et Jean Giraud alias Moebius. C’est cette aventure très mystérieuse, à la frontière du paranormal, que narre avec humour la bande dessinée de Manara. Fellini y est remplacé par Snaporaz, son alter ego à l’effigie de Marcello Mastroianni. À ce récit, le cinéaste ajoute une sorte de prologue à Cinecittà avec des personnages complètement étrangers à l’histoire initiale et qui font quand même le voyage avec lui. L'ouvrage comporte également deux récits complets de Manara évoquant l'univers de Fellini, des dessins ainsi que des propos des deux auteurs.

 

Casterman – Edition originale de 1990.

123 pages – 30,5 x 23 cms – 955 grammes.

Quelques ( inévitables mais infimes ) marques de frottements sur l’arrière de la jaquette de protection et un tout petit choc en bas de tranche… mais l’ensemble est quasi-parfait et en très très bon état, nickel : 15 €uros. / Vendu ! - Temporairement indisponible.

 

Manara et Fellini-01.jpg

 

Ailleurs = entre 14 et 20 €uros sur Amazon.fr

19,91 €uros sur bdnet.com

De 14,95 à 20,90 sur Priceminister.

Manara et Fellini-02.jpg 

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Fellini a voulu voir Tulum

 

Dans les années 1980, le cinéaste italien avait fait un voyage au Mexique dans l’idée de tourner un film inspiré des écrits de Carlos Castaneda. Le film n’a jamais vu le jour. Les raisons ? Aussi ésotériques que les livres de l’anthropologue péruvien.

 

Octobre 1984. Federico Fellini reçoit un coup de téléphone alors qu’il se trouve sur un plateau de Cinecittà, en pleine préparation de son film Ginger et Fred.

— Carlos est ici. Tu veux le voir ?

 

Cela fait quinze ans que Fellini cherche à rencontrer Carlos Castaneda. L’auteur de L’Herbe du diable et la petite fumée (1968), Voir (1971) et Voyage à Ixtlan (1972), des livres publiés dans le monde entier, qui suscitent curiosité et admiration. Il révèle dans ces ouvrages une part de la sagesse d’un supposé Indien Yaqui se présentant sous le nom de don Juan Matus, qu’il aurait connu dans le désert de Sonora, lors d’une enquête menée dans le cadre de ses études d’anthropologie à l’université de Californie. Ce sorcier, comme l’affirme Castaneda dans son récit à la première personne, l’aurait pris comme apprenti et lui aurait révélé les préceptes ancestraux de son peuple, les effets psychotropes du peyotl et les puissances surnaturelles que les hommes pouvaient parvenir à dominer. Fellini a le projet de réaliser un film inspiré des livres de Castaneda, mais il n’a pas trouvé le moyen d’en acquérir les droits.

Quelques années plus tard, en 1988, dans le défunt hebdomadaire L’Europeo, il racontera cette rencontre nocturne avec Castaneda dans un hôtel de Rome : « A l’heure dite, j’ai vu arriver un homme petit, trapu, brun : un Sicilien, un gros Sicilien avec des dents blanches brillantes, aux manières affables, cordiales. Quelqu’un de très jovial : aucun trait romantique qui puisse évoquer un quelconque envoûtement. Le sourire du Mexicain [ en fait Castaneda était péruvien ], qui fait penser aux Calabrais, aux Napolitains, les cheveux ondulés et brillants, les sourcils très noirs, l’œil un peu globuleux, mais affable, curieux. Un regard touchant, un côté convivial et tactile, une manière de s’assurer que vous êtes là et que les autres sont ici avec vous. « My dear friend. » Cher ami ! Nous nous sommes donné l’accolade. »

 

D’autres metteurs en scène, comme Alejandro Jodorowsky, avaient tenté en vain de réaliser un film inspiré de l’oeuvre de Castaneda. Apparemment, l’écrivain avait choisi Fellini, et vice-versa. A Rome, ils se voient plusieurs fois. Castaneda, tel un oracle, insistait sur le fait que le moment était propice pour faire le film. Il voulait convaincre Fellini de tourner au Mexique, alors que ce dernier disait qu’il pouvait réaliser des décors de paysages mexicains à Cinecittà. Ce sera leur premier désaccord. Le cinéaste le présente à son producteur, Alberto Grimaldi. Fellini veut remettre à plus tard la rencontre, parce qu’il est sur le point de commencer le tournage de Ginger et Fred, mais Castaneda l’en empêche : il lui dit que le rendez-vous suivant doit avoir lieu immédiatement à Los Angeles.

Le voyage est financé par Grimaldi, en 1984, mais Fellini ne tournera jamais le film. De retour à Rome, le cinéaste raconte à ses amis que Castaneda s’est volatilisé, mais que lui et ceux qui l’accompagnaient viennent de vivre un voyage étrange, ponctué de messages anonymes [ trouvés dans les chambres d’hôtels ], de coups de fil menaçants, de signaux ésotériques. La légende noire de ce film non tourné se cristallise en 1986, quand le Corriere della Sera publie, sous le titre Viaggio a Tulun (sic), un scénario que le cinéaste a écrit en collaboration avec son scénographe Tullio Pinelli, accompagné d’illustrations de Milo Manara. Le quotidien présente le texte comme un scoop sur ce que va être le prochain film de Fellini. Le scénario raconté est inquiétant, mais le message sur lequel il se termine l’est plus encore : « Les faits ici présentés se sont produits dans la réalité. »

 

(…)

 

Dans les dernières années de sa vie, Fellini n’est pas parvenu à réunir les fonds pour faire le film et il a transformé en bande dessinée, avec des dessins de Milo Manara, le scénario qu’il n’avait pas pu porter à l’écran. Viaggio a Tulum est paru en 1990 chez Rizzoli [ et en France chez Casterman, sous le titre Voyage à Tulum ], Manara en a fait une histoire érotique, où Fellini, qui apparaît dans certaines planches, est figuré parfois sous les traits de Marcello Mastroianni. La réalisation de la bande dessinée a été menée tambour battant : Fellini donnait les ébauches à Vincenzo Mollica [ ami de Fellini, spécialiste de la BD et critique de cinéma, qui a fait se rencontrer Manara et le cinéaste ] et celui-ci les envoyait par fax à Manara, qui se trouvait à Vérone. Mais le sortilège mexicain continuait d’opérer. Ils se sont mis à recevoir d’étranges appels téléphoniques. « Ils voulaient savoir ce que nous faisions. C’était un groupe italien lié aux expériences de Castaneda, c’est-à-dire à son mode de pensée. »

Si, dans un premier temps, Fellini a prévu que le personnage de Carlos Castaneda figurerait dans la bande dessinée, ces appels anonymes l’amènent à y renoncer. Il modifie le début de l’histoire en la rendant bien plus surréaliste, ce qui n’est pas pour déplaire à Manara : plus qu’un rêve, la BD serait un grand cauchemar allégorique sur l’apocalypse du monde telle qu’ils étaient en train de la vivre.

Fellini a toujours pensé que son projet cinématographique sur les livres de Castaneda avait sans doute irrité et inquiété certaines personnes, qui devaient appartenir à une sorte de secte dont dépendait certainement l’anthropologue. En somme, d’après lui, les menaces provenaient d’une organisation dépassant la personne du mystérieux écrivain. Et comme le cinéaste était très superstitieux, il a préféré ne pas porter cette histoire à l’écran.

 

(…)

 

Fellini avait beaucoup de points communs avec Castaneda. L’un comme l’autre étaient capables de changer le regard des autres. Egocentriques, ils faisaient tous deux l’objet d’un culte et n’avaient pas leur pareil pour raconter des histoires auxquelles ils finissaient par croire eux-mêmes. Et c’est avec un art consommé qu’ils inventaient leur propre personnage et construisaient une sorte de mythologie d’eux-mêmes.

Fellini ne s’est peut-être jamais rendu compte que, à l’égal de Mastroianni dans la BD de Milo Manara, il avait été lui-même sans le savoir le personnage d’un film. Un film dont Castaneda tirait les ficelles. Mais on peut aussi imaginer qu’en grand visionnaire qu’il était, le cinéaste ait compris dès le début la manipulation de Castaneda et s’en soit servi pour que nous soyons tous les acteurs éternels du film qu’il n’a jamais tourné.

 

http://www.courrierinternational.com/article/2011/05/19/fellini-a-voulu-voir-tulum 

Manara et Fellini-03.jpg

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17/01/2012

Vendredi 13

 

Toutes nos excuses pour ce long silence de quasiment 4 jours, auquel nous ne vous avions pas habitué… mais la chute d’un gros câble électrique, vendredi 13 ( ça ne s’invente pas !?! ha ha ) dernier en début de soirée, ayant arraché notre ligne téléphonique… nous avons été privé d’accès à internet du vendredi soir au lundi 16, fin d’après-midi… date à laquelle « France Telecom » ( ou tout du moins ce qu’il en reste ) c'est enfin décidé à s’intéresser à notre cas !

Mais bon, pas de soucis, le temps pour nous ( aujourd’hui ) de répondre aux quelques dizaines de mails arrivés durant le week-end… et dès demain ( mercredi 18 ) nos 3 blogs reprendront leurs rythmes de croisière !

 

vendredi_13_001.jpg Portrait robot d’un mec ayant été aperçu rôdant auprès de notre ligne téléphonique vendredi 13 au soir...

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11/01/2012

TITANS

 

Nous recherchons : tous N° du magazine TITANS, ( éditions LUG ).

Si vous en avez à vendre ou à échanger… contactez nous ! 

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10/01/2012

Ailleurs...

 

Comme vous avez aimé la première…

( Cf : http://lantiquoriumduke.hautetfort.com/archive/2011/12/31/sacre-vingieu.html )

Je vous en offre une autre – PIF gadget N°2 / 1969 – MANDRYKA again.

 

( Cliquez sur l’image pour l’agrandir dans une nouvelle fenêtre. )  

Ailleurs, Mandryka, Pif Gadget