27/12/2011
MANARA - Trompeuse apparence
Milo MANARA : « Trompeuse apparence »
Edition originale de 1984… Quelques courtes histoires, tendres, cruelles ou diaboliques, aux apparences souvent trompeuses ( dont la fameuse et géniale « Fyn », qui vaut à elle seule l’achat de cette B.D ! )… du grand Manara !
Edition Kesselring / 1984 / 52 pages / 29,5 x 22 cms / 345 grammes.
Quelques toutes petites traces de stockage, mais vraiment infimes, très bon état !
>>> 10 €uros. / Vendu - temporairement indisponible.
http://www.bedetheque.com/album-18943-BD-Trompeuse-apparence.html
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Ailleurs = entre 17 et 25 €uros en achat imm sur ebay.
Entre 8 et 20 €uros ( selon les états ) sur priceminister.
10:31 Publié dans Bandes dessinées érotiques, Manara | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : manara, trompeuse apparence, édition originale, b.d, bande dessinée, érotisme
23/12/2011
Manara - Gulliveriana
Gulliveriana - par Milo MANARA.
Embarquée par accident à bord d’un bateau, une demoiselle sexy se retrouve géante chez des lilliputiens, puis lilliputienne dans un monde de géants. Une variation érotique intéressante et propice aux fantasmes des "Voyages de Gulliver"...
Les Humanoïdes Associés / Edition originale de 1976.
72 pages en couleurs / 710 grammes / Etat = comme neuve !!!...
>>> 10 €uros. / Vendue ! - Temporairement indisponible.
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Résumé et chronique de planètebd.com :
L'histoire : Une jeune femme sexy en maillot de bain se fait dorer la pilule sur le sable d’une crique isolée. Elle aimerait faire du bronzage intégral, mais un bateau, ancré à quelque brasses de là, la gène un peu. Aussi s’éloigne-t-elle au fil de l’eau, sur son matelas pneumatique, pour se mettre nue plus au large. Mais en roulant à l’eau depuis son matelas, elle perd définitivement son maillot et n’a d’autre choix que de monter à bord du mystérieux bateau, pour y demander de quoi se couvrir. Mais à bord, personne. Elle trouve un tricorne de pirate, se confectionne une courte tunique avec un drapeau britannique et s’installe négligemment sur le pont pour y lire un vieux bouquin : Les voyages de Gulliver. Mais le temps se gâte aussi soudainement que sérieusement. Chahuté par d’immenses déferlantes, le bateau s’échoue. Quand la jeune femme reprend connaissance, elle est allongée sur un rivage, mais immobilisée par des dizaines de petites sangles : elle est devenue une géante, à la merci d’une nombreuse population de lilliputiens ! Effrayée, elle se débat, mais les lilliputiens lui décochent des volées de flèches, qui sont sur son épiderme comme des centaines de petites épingles. Ils lui donnent à boire quelques tonneaux de vin drogué et profitent de son sommeil pour la déplacer et l’amener jusqu’à leur roi, à l’aide d’un immense socle à roulettes, tiré par des dizaines de bœufs…
Ce qu'on en pense sur la planète BD : Comme Le déclic ou Le parfum de l’invisible,Gulliveriana est un must du 9e art érotique, livré originellement aux yeux pétillants masculins en juin 1996. L’italien Milo Manara y fait bien entendu une variation friponne autour des quatre Voyages de Gulliver jadis contés par Jonathan Swift (en 1721). Ici, le chirurgien Gulliver est remplacé par une jeune femme sexy et totalement dénudée qui, une fois devenue géante, suscite bien des situations étonnantes… et des fantasmes. Précisément dessinées avec l’élégance qui caractérise toute l’œuvre de ce maître de l’érotisme, les situations érotiques demeurent toutefois relativement chastes : en marge de la cambrure naturellement sexy de l’affable héroïne et de ses jambes génialement disproportionnées, cela se limite notamment pour elle à faire passer un défilé militaire sous ses jambes bien écartées. En l’utilisant ainsi en tant qu’arc de triomphe, Manara trouve un angle intéressant à la symbolique sexuelle-militaire… Sur un plan plus irrévérencieux, la jeune femme éteint ensuite l’incendie du château et sauve la reine en faisant pipi dessus ! Après tout, le roman de Swift était à son époque une véhémente satire du pouvoir monarchique. Au-delà de ces épisodes cultes, Manara laisse surtout une large part à l’imagination, qui joue pleinement sur les rapports de tailles exagérés (la proportion inverse du second voyage permet à l’héroïne de s’exciter en s’agrippant à un majeur géant…). Les deux derniers voyages de cette Gulliveriana (avec les chevaux intelligents et sur l’île volante), couvrant une dizaine de pages finales, perdent beaucoup de leur sens initial et ne trouvent leur utilité qu’à travers la fidélité aux situations de l’œuvre originale. Une œuvre… géante !
http://www.planetbd.com/bd/les-humanoides-associes/gulliveriana/-/12807.html
10:41 Publié dans Bandes dessinées érotiques, Manara | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : manara, milo manara, gulliveriana, b.d, bande dessinée, érotisme