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14/07/2012

Jacques SADOUL présente...

 

Le meilleur des PULPS

 

Jacques SADOUL présente : Les meilleurs récits de …

(Inscrivez le nom de votre Pulp préféré à la place des 3 petits points ! Ha ha…)

Une collection devenue carrément mythique et (donc) de plus en plus difficile à dénicher… d’autant que certains « confrères pour le moins gourmants » n’hésitent pas à proposer ces poches à 8 voire 10 €uros !?!!??…

Mais bon, comme chez D.U.K.E (vous le savez) on est des bouquinistes honnêtes, on va rester dans les marges de ce qu’on pourrait appeler la « cote » (plus ou moins officielle) pratiquée par les bouquinistes honnêtes…

Et de fait, vous proposer ces petites perles aux justes prix !

A savoir : 4 €uros pour du très bon, 3 €uros pour du bon et 2 €uros pour du moyen+

Sur quoi… bonne lecture et bonne chasse ! 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de ASTOUNDING STORIES #1

( Période 1934 / 1937 )

 

Il existe des périodes privilégiées dans la vie des revues.

Celle qui va du début 1934 à la fin 1937 en est une pour Astounding qui, depuis trente-cinq ans, reste le premier magazine du genre aux Etats-Unis. Cette anthologie présente des récits d'auteurs aujourd'hui encore célèbres, tels C.L Moore, Jack Williamson, John W. Campbell… ou d’autres qui ont été injustement oubliés : Stanley Wienbaum, Donald Wandrei, etc…

C'est à partir de leurs récits, présentés ici pour la première fois, que s'édifia la période classique de la S-F américaine, celle de Van Vogt, Asimov, Sturgeon, etc. Ne les manquez pas, leurs qualités et leur actualité vous surprendront.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Le Vieux Fidèle » (Old Faithful) par Raymond Z. Gallun

3. « Rendez-Vous au Fil du Temps » (Tryst in Time) par Catherine L. Moore

4. « Les Mangeurs de Lotus » (The Lotus Eaters) par Stanley G. Weinbaum

5. « Le Rôdeur des Terres Incultes » (Prowler of the Wastelands) par Harl Vincent

6. « Au-Delà de l'Infini » (Beyond Infinity) par Chan Corbett

7. « La Nuit » ( Night ) par Don A. Stuart (pseudo de John W. Campbell)

8. « Le Dictateur Fantôme » (The Phantom Dictator) par Wallace West

9. « Le Cercle Galactique  (The Galactic Circle) par Jack Williamson

 

J'ai Lu SF n°532 (J'AI LU) / 1974 / 306 pages / 160 grammes.

Etat = tranche très légèrement insolée, mais bien : 3 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les meilleurs récits de ASTOUNDING S.F #2 

( Période 1938 / 1945 )

 

Le premier volume consacré à Astounding Stories couvrait la période 1934-1937.

A cette date, John W. Campbell prend en main les destinées du magazine et modifie légèrement son titre. Voici donc la période 1938-1945 de Astounding Science-Fiction.

Campbell lui-même figure au sommaire sous le pseudonyme de Don A. Stuart, avec un récit étonnant, « Le manteau d'Aesir », considéré comme un classique outre-Atlantique et qui n'avait jamais été traduit dans notre langue.

Ce volume présente également des textes de Theodore Sturgeon, Clifford D. Simak, Lester del Rey et Murray Leinster, au mieux de leur forme. L'anthologie: se termine par un autre grand classique, « Tout smouales étaient les Borogoves », de Lewis Padgett (pseudobyme utilisé par H.Kuttner et C.L Moore lorsqu'ils écrivaient à 4 mains !) que Boris Vian traduisit pour le Mercure de France en 1953.

 

Sommaire :

1. Le Manteau d'Aesir (Cloak of Aesir) par Don A. Stuart

2. Le Dieu Microcosmique (Microcosmic God) par Theodore Sturgeon

3. La Fosse aux Pirates (Rim of the Deep) par Clifford D. Simak

4. Helen A'Lliage (Helen O'Lloy) par Lester Del Rey

5. Premier Contact (First Contact) par Murray Leinster

6. Tout Smouales étaient les Borogoves (Mimsy Were the Borogoves) par Lewis Padgett

 

J'ai Lu SF n°988 (J'AI LU) / E.O de 1979 / 224 pages / 125 grammes…

Marques de lectures et petites pliures sur le bas de couv et quatrième… mais O.K. 

>>> 2,50 €uros. / Vendu !

Ou : même année même édition mais un poil moins bien (une pliure sur couv’)…

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de PLANET STORIES

 

Planet Stories a été publié entre 1939 et 1955.

Ce magazine se consacra presque exclusivement à la science-fiction d'aventure et aux space-operas flamboyants. C'est dans ses pages que Leigh Brackett publia les meilleurs de ses récits situés sur la planète Mars.

C'est également dans Planet que parurent nombre de chroniques martiennes de Ray Bradbury.

A côté de ces deux écrivains, cette anthologie vous présente des récits des meilleurs auteurs de l'époque : Henry Kuttner, A.E Van Vogt, Poul Anderson, etc… ainsi qu'un des premiers textes d'un débutant aujourd'hui célèbre : Philip K. Dick.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Un saint dans la galaxie » de Alfred Elton VAN VOGT

3. « Bestiaire martien » de Leigh BRACKETT

4. « Tepondicon » de Carl JACOBI

5. « Lazare, approchez » de Ray BRADBURY

6. « Le Seigneur des mille soleils » de Poul ANDERSON

7. « Mille ailes en cage » de Algis BUDRYS

8. « Les Infinis » de Philip K. DICK

9. « Par qui suis-je possédé ? » de Henry KUTTNER

 

J'ai Lu SF n°617 (J'AI LU) / E.O de 1975 / 253 pages / 140 grammes…

Un exemplaire tranche nickel état général = bon/bon+ : 3 €uros. / disponible.

Ou (deux exemplaires) un poil moins biens (petites marques de stockage / pliure + fines cassures sur tranche) : 2 €uros. / disponible. 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les meilleurs récits de STARTLING STORIES

 

Startling Stories n'eut qu'une assez brève existence, entre 1939 et 1955. Il publia certes du space-opera comme ses confrères de l'époque, mais aussi des récits d'humour et des textes plus élaborés qui annoncent la science-fiction de la décade suivante.

Ces trois tendances sont représentées dans cette anthologie : l'humour avec les nouvelles de Arthur C. Clarke, Henry Kuttner et Jack Lewis… la S-F classique avec Edmond Hamilton (et un récit du Captain Future), Leigh Brackett et A. Bertram Chandler… et la science-fiction plus ambitieuse avec Philip José Farmer, Ray Bradbury et Margaret St Clair.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Qui a copié ? » de Jack LEWIS

3. « Faire voile » de Philip José FARMER

4. « Un art perdu » de Arthur B. CHANDLER

5. « Leçon d’histoire » de Arthur C. Clarke

6. « Les trois mages » de llyod Arthur ESHBACH

7. « Automates, société anonyme » de Ray BRADBURY

8. « La guerre des sorcières » de Richard MATHESON

9. « Une arme humanitaire » de Margaret SAINT-CLAIR

10. « Ne vous retournez pas tout de suite » de Henry KUTTNER

11. « Les Harpistes de Titan » de Edmond HAMILTON

12. « Les derniers jours de Shandakor » de Leigh BRACKETT

 

J’ai lu – 1977 – 254 pages – 145 grammes.

Etat = une petite trace de stockage sur couv’ ainsi qu’une toute petite marque de pliure en bas de 4ème, sans quoi parfait, tanche non cassée, non insolée, pas lu plus d’une ou deux fois.

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WEIRD TALES #2 ( période 1933/1937 )

 

La période 1933-1937 est assurément la meilleure qu'ait connue le magazine Weird Tales.

Lovecraft, Robert Howard, Clark Ashton Smith s'y montrent au sommet de leur talent.

Les amateurs de H.P Lovecraft auront l'heureuse surprise de découvrir un excellent texte du maître sous une signature féminine : Hazel Heald.

Cette dame existait mais faisait réviser ses textes par Lovecraft…

Clark Ashton Smith est représenté par un de ses récits les plus célèbres, La mort d'Ilalotha, dans lequel sadisme, horreur et nécrophilie se mélangent. C'est un des meilleurs récits de Conan le Cimmérien qui illustre ici le talent de Robert Howard et le futur auteur de Psychose, Robert Bloch, nous raconte la mort d'un écrivain de S.-F. de Providence dévoré par des entités d'outre-espace… un écrivain dont l'adresse n'est autre que celle de H.P Lovecraft !!!…

 

Sommaire :

1. Jacques Sadoul / Introduction générale

2. Jacques Sadoul / À propos du tome 2

3. Clark Ashton Smith / La Mort d'Ilalotha

4. Hazel Head / Hors du temps [Texte révisé — écrit — par Lovecraft.]

5. J. Paul Suter / Le Juge suprême

6. Edmond Hamilton / Les Graines d'ailleurs

7. Nictzin Dyalhis / La Déesse de Saphir

8. Seabury Quinn / La Face de Warburg Tatavul

9. Robert Bloch / Le Rôdeur des étoiles

10. David H. Keller / Le Chat-tigre

11. H.P Lovecraft / Psychopompos

12. Robert E. Howard / La Citadelle écarlate

 

J'ai Lu [ #580 ] / Edition originale de 1975 ( Mars ) / 283 pages / 142 grammes…

Etat = Quelques petites marques d'usage/stockage, ainsi qu'une tranche très légèrement insolée, mais très bon état général ! : 3 €uros. / disponible.

Ou, un autre avec quelques marques de stockage et manipulations sur plats ainsi qu’une petite déchirure au bas de la tranche, mais tout à fait ok, intérieur propre et sain !

>>> 2 €uros./ Vendu !

Ou : un autre exemplaire, moins « marqué », mais avec une fine cassure sur tranche.

>>> 2 €uros. / Vendu !

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WEIRD TALES #3 ( période 1938/42 ) 

 

Les années 1938-1942 marquent la fin de la période classique de Weird Tales. L'orientation du magazine reste tournée à la fois vers le récit de fantasy, l'horreur, le fantastique traditionnel et la science-fiction, et tous ces ingrédients sont présents dans cette troisième anthologie.

On trouvera ainsi l'horreur représentée avec L'ombre sur l'écran de Henry Kuttner et Tout au fond de R.B Johnson ; la fantasy avec Esclave des flammes de Robert Bloch et Le jardin d'Adompha de Clark Ashton Smith ; la science-fiction avec La nymphe des ténèbres de C.L Moore et F.J Ackerman et le fantastique avec Routes de Seabury Quinn et Le tueur fantôme de Fritz Leiber.

 

Sommaire :

1. Jacques Sadoul / Introduction générale

2. Jacques Sadoul / À propos du tome 3

3. Henry Kuttner / L'Ombre sur l'écran

4. Robert Bloch / Esclave des flammes

5. Ralph Milne Farley / La Maison de l'extase

6. Robert Barbour Johnson / Tout au fond

7. Clark Ashton Smith / Le Jardin d'Adompha

8. C.L. Moore & Forrest J. Ackerman / La Nymphe des ténèbres

9. David H. Keller / La Déesse de Zion

10. Seabury Quinn / Routes

11. Henry Kuttner / L'Hydre

12. Fritz Leiber, jr. / Le Tueur fantôme

Tous les auteurs sont introduits par une notice.

 

J'ai Lu [ #923 ] / Edition originale de 1979 ( Février ) /  218 pages / 125 grammes.

Un exemplaire en très bon état : 3,50 €uros. / Vendu ! 

Et un autre un petit poil moins bien mais bon, à : 3 €uros. / Vendu ! 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WONDER STORIES

 

Wonder Stories est paru aux États-Unis entre 1929 et 1936.

Il fut dirigé par Hugo Gernsback, le fondateur de la science fiction moderne.

Ce volume présente deux récits exceptionnels du meilleur auteur révélé par ce magazine, Stanley Weinbaum, dont L'odyssée martienne est le texte le plus souvent reproduit dans les anthologies outre-Atlantique.

On découvrira aussi un récit poétique de Clark Ashton Smith, La cité de la flamme chantante, qui passe justement pour la meilleure oeuvre de cet écrivain. Il faut encore citer les récits de Francis Flagg, Edmond Hamilton, Leslie F. Stone, Philip Barshofsky et Gernsback lui-même.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. Clark Ashton SMITH : « La Cité de la flamme chantante » (The city of the singing flame)

3. Stanley WEINBAUM : « L'Odyssée martienne » (A Martian Odyssey)

4. Philip BARSHOFSKY : « Une nuit préhistorique » (One prehistoric night)

5. Hugo GERNSBACK : « L'Eclair mortel » (The killing flash)

6. Francis FLAGG : « Le Surhomme du Dr Jukes » (The superman of Dr Jukes)

7. Leslie F. STONE : « La Conquête de Gola » (The conquest of Gola)

8. Edmond HAMILTON : « L'Ile de déraison » (The island of unreason)

9. Stanley WEINBAUM : « Les Lunettes de Pygmalion » (Pygmalion's Spectacles)

 

J'ai Lu SF n°663 (J'AI LU) / 1976 / 252 pages / 145 grammes.

Un exemplaire « comme neuf » : 4 €uros. / disponible.  

Et un autre un petit poil moins bien mais néanmoins très bon, à : 3,50 €uros. / disponible.

 

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Jacques Sadoul présente :

Les Meilleurs récits de AMAZING STORIES ( période 1926/32 )

 

Amazing Stories est la plus ancienne revue de science-fiction au monde. Elle a été publiée sans discontinuer depuis le mois d'avril 1926.

C'est grâce à elle que la S.-F. a pu se constituer en genre littéraire séparé dans les années 30. Cette anthologie vous propose des récits d'auteurs aujourd'hui encore célèbres, tel Abraham Merritt, ou injustement oubliés tels Francis Flagg, Wallace West ou le Dr Keller.

Elle présente aussi le long récit de Philip Francis Nowlan à partir duquel fut créée la célèbre bande dessinée de science-fiction : « Buck Rogers au XXVe siècle ». Inconnue en France, cette première période de la S.-F. américaine sera une révélation pour beaucoup.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Les Etres de l'abîme » de Abraham MERRITT

3. « L'Arrivée des glaces » de G. PEYTON WERTENBAKER

4. « La Guerre du lierre » de David H. KELLER

5. « Le Dernier homme » de Wallace WEST

6. « Les Cités d'Adarthia » de Francis FLAGG

7. « Le Sous-univers » de Roman Fredrick STARZL

8. « La Planète au double soleil » de Neil Ronald JONES

9. « Armageddon 2419 après J.-C » de Philip Francis NOWLAN

 

J'ai Lu SF n°551 (Poche) / Edition originale de 1974 / 310 pages / 168 grammes.

Une ou deux infimes traces de manipulation ayant occasionné deux petits défauts de pelliculage, mais c’est vraiment insignifiant ! Vernis bien brillant, intérieur sain et propre, l’exemplaire n’est pas vraiment « quasi-neuf » mais tout au moins très bien !

>>> 3,50 €uros. / disponible. 

 

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Jacques Sadoul présente :

Les Meilleurs récits de UNKNOWN

 

De tous les magazines américains de science-fiction, Unknown est assurément le plus inconnu et peut-être le meilleur. Au cours de sa brève existence (trente-neuf numéros), il publia des récits de tout premier ordre dans un style relevant du fantastique et de la science-fiction.

Vous découvrirez dans ses pages que la vie n'est pas simple pour les pauvres humains qui sont aux prises avec les créatures de cauchemars imaginées par Theodore Sturgeon, Fredric Brown, Robert Bloch, Robert Heinlein, etc.

Que peut faire un homme des cavernes à notre époque ? Pourquoi mercredi succède-t-il à lundi ? Que penser d'une coltine qui paraît être également une dépression ? Voici quelques-uns des problèmes qui attendent les personnages, et les lecteurs, de cette anthologie de Unknown.

 

Sommaire :

01. « Hier c'etait Lundi », de Theodore STURGEON

02. « Armageddon », de Fredric BROWN

03. « Régime sec », de H.L GOLD 

04. « Ces gens-là », de Robert HEINLEIN

05. « Pleine lune », de Manly Wade WELLMAN

06. « Un mec préhisto », de L. SPRAGUE DE CAMP 

07. « Le psychormorphe », de E.A. GROSSER

08. « La cape », de Robert BLOCH

09. « La colline et le trou », de Fritz LIEBER

10. « Profession : demi-dieu », de Nelson S. BOND

11. « La troisième porte », de Henry KUTTNER

 

J'ai Lu SF n°713 (Poche) / Edition originale de 1976 / 288 pages / 148 grammes.

Une petite (et légère) trace de pliure en bas de premier plat et une quatrième de couv’ un peu plus marquée (même si rien de bien conséquent), l’extérieur (à la tranche non cassée) est juste « bon ». Mais l’intérieur est lui parfait, neuf, sain et propre… et l’ensemble de l’ouvrage est – de fait – tout à fait digne de votre bibliothèque !  

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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http://www.cafardcosmique.com/La-Grande-Histoire-des-Pulps

http://www.collectorshowcase.fr/pulps__magazines_americains.htm

http://www.vintagelibrary.com/pulpfiction/PulpFictionCentral.php

http://www.pulpmags.org/

http://www.thepulp.net/

 

Etc… etc… etc… 

20/06/2012

Science Fiction & Fantasy

 

Poul ANDERSON, Jean-Pierre ANDREVON, Isaac ASIMOV, Clark ASHTON SMITH,

J.G. BALLARD, René BARJAVEL, BLADE, Leigh BRACKETT, Ray BRADBURY,

Arthur C. CLARKE, Carolyn J. CHERRYH,  Philip K. DICK, Dan DASTIER,  P.J. FARMER,

Fleuve Noir Anticipation, Robert HEINLEIN, Joe HALDEMAN, Frank HERBERT,

Robert E. HOWARD, L. Ron HUBBARD, Aldous HUXLEY, Gérard KLEIN, Fritz LEIBER,

Jean-Louis LE MAY, Anne Mc CAFFREY, Maurice LIMAT, Abraham MERRITT,

Michael MOORCOCK,  Pierre PELOT, Catherine L. MOORE, Daniel PIRET, Présence du Futur,

Hubert REEVES,  Robert SILVERBERG, Jacques SADOUL, Clifford D. SIMAK,

Star Wars, Norman SPINRAD, Star Trek, Kurt STEINER, Theodore STURGEON,

J.R.R. TOLKIEN, Jack VANCE, A.E. VAN VOGT,  H.G. WELLS ,

Jack WILLIAMSON, Marion ZIMMER BRADLEY

 

Si ces noms vous parlent…

C’est ici >>> http://bouquinorium.hautetfort.com/catalogue-livres-telechargement-pdf/

 

60 pages ( format A3 – Verdana taille 9 / 180.000 caractères, l’équivalent d’un assez gros livre

de poche ! ) de Science Fiction et d’Heroic Fantasy à des prix allant de 1,50 à 3 €uros !

Le rendez-vous pour le moins incontournable des fans de S.F !!!!!…

 

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18/06/2012

Abraham MERRITT

La rencontre de la Science-Fiction et de l'Heroic-Fantasy !

Abraham Merritt est né en 1884 dans le New Jersey. Après des études d'avocat, il devint journaliste et dirigea l'hebdomadaire américain Weekly. Il mourut en 1944 d'une crise cardiaque. Son œuvre influença des auteurs tels que H.P. Lovecraft, C.L. Moore, et donna naissance à toute la littérature d' « Heroic-Fantasy ».

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Abraham MERRITT : « Les habitants du mirage »

 

Khalk'ru est le Destructeur, le Dévoreur de vie, le Dissolvant. Il n'est pas la Mort, la mort n'est qu'une partie de lui-même. Leif est un homme d'un autre monde qui pénètre, par hasard, dans la vallée du Mirage, il a alors la surprise d'être pris pour Dwayanu, jadis le cruel prince de cette région. Dwayanu, le seul être capable de faire descendre Khalk'ru sur notre monde. Bientôt Leif s'éprend d'Evalie et se dresse contre la sorcière Lur, l'ancienne amante de Dwayanu. Mais lorsqu'il assiste au sacrifice rituel d'une jeune femme, sur le point d'être mère, à la terrible divinité venue d'outre-espace, Leif perd la maîtrise de lui-même. Dwayanu s'empare de son esprit et, malgré la résistance horrifiée de son hôte, évoque le dieu monstrueux.

Que pourra Leif pour sauver Evalie et son peuple alors qu'il est lui-même habité par leur plus terrible ennemi ?…

J’AI LU  ( Poche ) / 1986 / 317 pages / 155 grammes.

Une petite pliure en haut de couv’… mais bon état général : 2 €uros. / Vendu ! 

 

 

Abraham MERRITT : « Le visage dans l’abîme »

 

Dans la Cordillère des Andes, Nicolas Graydon est à la recherche d'un trésor inca… lorsque survient la belle et mystérieuse Suarra. Elle va le guider vers une vallée inaccessible, où vit le peuple étrange d'Yu Atlantchi. Ce sont les derniers descendants des légendaires Atlantes. Ils ont vaincu la mort et conquis des pouvoirs inouïs - que Graydon va découvrir, d'abord incrédule, bientôt terrifié…

Chassé de la vallée interdite, Nicolas Graydon y reviendra cependant et, pour retrouver Suarra, il devra lutter contre des forces surnaturelles qui veulent sa mort…

Editions J’ai Lu poche – 1990 – 313 pages – 155 grammes.

Lu, quelques petites pliures sur tranche… mais bon / très bien : 2 €uros. / Vendu ! 

 

 

Abraham MERRITT : « La nef d’Ishtar »

 

John Kenton, un jeune et brillant archéologue, se voit remettre une ancienne stèle gravée. Cette relique exerce sur lui une étrange fascination. Comme s'il était appelé. Mais en la brisant accidentellement, il fait une stupéfiante découverte : un vaisseau de pierres précieuses, peuplé de figurines d'une remarquable précision, vogue à l'intérieur. Soudain aspiré hors du temps, Kenton se retrouve sur le pont du navire, aux pieds de la belle Sharane, prêtresse d'Ishtar, désormais impliqué dans le combat qu'elle mène contre le terrible Nergal, dieu de la mort ! Car la malédiction d'un amour interdit frappe ce vaisseau d'ébène et d'ivoire. Et seul Kenton, venu d'un autre monde, peut lever le joug fatal.

Editions J’ai Lu poche – 1975 – 254 pages – 140 grammes.

Nickel… « comme neuf » !!! : 3 €uros. / Vendu ! 

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25/04/2012

Claude SEIGNOLLE

 

Claude SEIGNOLLE : « Marie la Louve »

 

« Sologne, fin du XIXe siècle. Belle, aimée des siens, Marie est un de ces êtres qui ensoleillent l'existence. Elle a, dit-on, le « pouvoir » de guérir les morsures de loup… L'avenir lui sourit. Elle va célébrer la Saint-Jean avec celui qu'elle aime. Mais lors de cette longue nuit de liesse où les passions et les rancœurs s'exacerbent, l'existence de la jeune fille bascule… Nourrie de mensonges malveillants, la rumeur, que les vents d'hiver semblaient avoir enfoui dans les eaux dormantes des marécages, se réveille, s'embrase et colporte que Marie est l'incarnation du Mal… Ce drame poétique narré avec talent séduit et effraie, la bassesse humaine s'y révélant plus redoutable que les forces occultes. »

Un chef d’œuvre absolu… du Maître absolu de ce fantastique « sorcier, sombre et rural » qui fit sa légende. Lawrence Durrell, qui révéla hors de chez nous l'œuvre  de Claude Seignolle, n'hésitait pas à voir en lui le plus grand conteur fantastique de notre siècle. Opinion partagée par Cendrars, Mac Orlan, Hubert Juin et quelques autres.

 

France Loisirs / 1988 / 173 pages / 20,5  x 14 cm / 300 grammes.

Belle reliure cartonnée à l’ancienne, façon papier marbré « à la cuve ».

Marques de manipulations et stockage sur la jaquette, ainsi qu’un bas de tranche très légèrement frotté, mais intérieur comme nickel, sain et propre.

>>> 3,50 €uros. / Vendu !

 

Disponible : un autre exemplaire ( même année / même édition ), à l’extérieur en moins bon état ( une nette pliure sur la tranche d’une jaquette assez marquée, ainsi qu’une tranche reliure « talée » sur le haut et présentant une petite déchirure ( 3 mm ) sur le bas… ), mais à l’intérieur lui aussi excellent : 2 €uros.

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Voir également ici >>> http://bouquinorium.hautetfort.com/archive/2012/03/01/c.html

 

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20/03/2012

Delirium Tremens

 

Delirium Tremens & Controversiae Curiosae N°1 

( Textes étranges et venus d’ailleurs )

 

Avec… au sommaire :

« La Noire Idole » de Laurent TAILHADE – 1907.

« À la morphine » de Jules VERNE - ( Sonnet, mars 1886 )

« La fleur de châtaigner »… Par le Marquis de SADE.

« Petite discussion avec une momie » d’Edgar Allan POE ( 1845 - Trad de C. Baudelaire )

« Salomé » de Jules LAFORGUE ( tiré de « Moralités légendaires » – 1887 )

« L’Absinthe » – Poème d’Aleister CROWLEY.

« Le Talion» par Donatien Alphonse François, Marquis de SADE.

« Auprès d’un mort » de Guy de MAUPASSANT – ( 30 janvier 1883, in « Gil Blas » )

« La Fille de Lilith » par Anatole FRANCE.

« L’oiseau d’argent qui chante dans la forêt ( La Race inconnue ) » de Charles RENEL.

« Le Petit Soldat de plomb » d’Anatole FRANCE – ( Tiré de : « L’Étui de nacre » / 1892 )

« Souvenirs occultes » de Villiers de L’ISLE-ADAM - ( Tiré des : « Contes cruels » / 1883 )

« La Morte » de Guy de MAUPASSANT.

« Lettre du 30 Floréal, au ministre de la justice » ( Marquis de SADE /Correspondance )

« Le journal d’un fou » de Nicolas Vassiliévitch GOGOL ( 1835 )

« L’Orient » de Guy de MAUPASSANT – ( Contes divers / 1883 )

« Le Procurateur de Judée » d’Anatole FRANCE – ( Tiré de : « L’Étui de nacre » / 1892 )

« La Question des ours blancs devant le Captain Cap » par Alphonse ALLAIS ( 1895 )

« Le Marcheur » par Thanhas ICEHEART ( 2008 )

« Dies Irae » par KURGAN Khan ( 2008 )

 

  Etc...

 

76 pages format A4 - 5 €uros. / disponible.

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Les « Pulps » D.U.K.E 

Les « pulps »,  abréviation de « pulp magazines », étaient des publications peu coûteuses, très populaires aux États-Unis durant la première moitié du XXème siècle. Ces magazines publiaient principalement de la fiction et les thèmes abordés étaient très divers, allant de la romance au récit fantastique, en passant par les histoires de détective et la science-fiction.

( Les quelques pulps encore existants de nos jours sont, pour la majorité, orientés vers la science-fiction et le fantastique ).

C'est le faible coût des pulps qui leur valut l'immense succès qu'ils connurent auprès des couches populaires… mais malgré son immense succès, le pulp périclita en raison de la hausse du prix du papier et de la compétition avec les comics, la télévision et les romans.

Le nom pulp vient du fait que ces magazines étaient imprimés sur du papier de mauvaise qualité, constitué de fibres de bois très grossières ( « woodpulp » ), par souci d'économie.

Beaucoup de classiques de la science-fiction ont tout d'abord été publiés sous forme de séries dans les pulps, notamment dans les magazines Weird Tales, Amazing Stories, Astounding Stories ou Black Mask… et bon nombre de grands auteurs y ont débuté leurs carrières, comme : Poul Anderson, Isaac Asimov, Robert Bloch, Ray Bradbury, Raymond Chandler, Edgar Rice Burroughs, Arthur C. Clarke, Philip K. Dick, Robert Heinlein, Frank Herbert, L. Ron Hubbard, Seabury Quinn, Robert Silverberg, Clark Ashton Smith ou A. E. Van Vogt…

Voire les non moins célèbres H.P Lovecraft et Robert E. Howard ( le « père » de Conan ), qui, de leur vivant, ne furent publiés QUE via les pulps…  

Et notamment le très célèbre Weird Tales !!!…

And then… 

« Just for you » : D.U.K.E ressuscite le « PULP Zine » !!!…

 

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1 série consacrée à la S.F, à l’Heroïc-Fantasy et à l’aventure intitulée : « Les Gestes d’Ailleurs »

1 série consacrée au Fantastique et à l'Horreur intitulée : « L'écho des espaces du Dehors »

1 série consacrée à l’occultisme et à l’ésotérisme, intitulée : « Les archives de l’égrégore »

1 série consacrée à l’érotisme, intitulée : « Le petit pornocrate illustré »

1 série consacrée aux textes étranges et « venus d’ailleurs », intitulée : « Delirium Tremens & Controversiae Curiosae »

20/02/2012

L'écho des espaces du Dehors N°1

 

L'écho des espaces du Dehors N°1 

( Fantastique / Horreur / Terreur )

 

Avec… au sommaire :

  Maurice LEVEL : « Confrontation »  (  Nouvelle tirée de « Les Portes de l’Enfer » 1910 )

  Rodolphe TÖPFFER : « Nouvelles genevoises : La Peur » ( 1833 )

  Lord AZMOTH et KURGAN Khan : « Un coussin de velours noir » ( 2006 )

  Charles NODIER : « Les aventures de Thibaud De La Jacquière » ( 1822 )

  Gustave FLAUBERT : « Rêve d’enfer » ( 1837 )

  Maurice LEVEL : « Les Corbeaux »  (  Nouvelle tirée de « Les Portes de l’Enfer » 1910 )

  Anatole FRANCE : « Lucifer » ( 1895 )

  Catulle MENDES : « La Dernière âme » ( entre 1866 et 1870 )

  Jules LERMINA : « Magie Passionnelle – La deux fois morte » ( 1895 )

  Jules VERNE : « La mort » ( Sonnet, Décembre 1847 )

  KURGAN Khan :  « Deux charmants bambins » ( Avril 2008 )

  Ivan Sergueïevitch TOURGUENIEV : « Un Rêve » ( 1876 )

  Etc...

76 pages format A4 - 5 €uros. / disponible.

 

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Les « Pulps » D.U.K.E

 

Les « pulps »,  abréviation de « pulp magazines », étaient des publications peu coûteuses, très populaires aux États-Unis durant la première moitié du XXème siècle. Ces magazines publiaient principalement de la fiction et les thèmes abordés étaient très divers, allant de la romance au récit fantastique, en passant par les histoires de détective et la science-fiction.

( Les quelques pulps encore existants de nos jours sont, pour la majorité, orientés vers la science-fiction et le fantastique ).

C'est le faible coût des pulps qui leur valut l'immense succès qu'ils connurent auprès des couches populaires… mais malgré son immense succès, le pulp périclita en raison de la hausse du prix du papier et de la compétition avec les comics, la télévision et les romans.

Le nom pulp vient du fait que ces magazines étaient imprimés sur du papier de mauvaise qualité, constitué de fibres de bois très grossières ( « woodpulp » ), par souci d'économie.

Beaucoup de classiques de la science-fiction ont tout d'abord été publiés sous forme de séries dans les pulps, notamment dans les magazines Weird Tales, Amazing Stories, Astounding Stories ou Black Mask… et bon nombre de grands auteurs y ont débuté leurs carrières, comme : Poul Anderson, Isaac Asimov, Robert Bloch, Ray Bradbury, Raymond Chandler, Edgar Rice Burroughs, Arthur C. Clarke, Philip K. Dick, Robert Heinlein, Frank Herbert, L. Ron Hubbard, Seabury Quinn, Robert Silverberg, Clark Ashton Smith ou A. E. Van Vogt…

Voire les non moins célèbres H.P Lovecraft et Robert E. Howard ( le « père » de Conan ), qui, de leur vivant, ne furent publiés QUE via les pulps…  

Et notamment le très célèbre Weird Tales !!!…

And then… 

« Just for you » : D.U.K.E ressuscite le « PULP Zine » !!!…

 

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1 série consacrée à la S.F, à l’Heroïc-Fantasy et à l’aventure intitulée : « Les Gestes d’Ailleurs »

1 série consacrée au Fantastique et à l'Horreur intitulée : « L'écho des espaces du Dehors »

1 série consacrée à l’occultisme et à l’ésotérisme, intitulée : « Les archives de l’égrégore »

1 série consacrée à l’érotisme, intitulée : « Le petit pornocrate illustré »

1 série consacrée aux textes étranges et « venus d’ailleurs », intitulée : « Delirium Tremens & Controversiae Curiosae »

18/01/2012

MANARA & FELLINI : Voyage à Tulum

 

Milo MANARA & Federico FELLINI : « Voyage à Tulum »

 

Voyage à Tulum est une adaptation en bande dessinée d’un projet de Federico Fellini non abouti au cinéma mais qu’il avait publié en feuilleton en 1986 dans le journal italien Il Corriere della Sera avec, déjà, des illustrations de Milo Manara.

Le film aurait dû raconter le voyage entrepris par Fellini au Mexique à la rencontre des sorciers yaquis, de tradition toltèque, avec l’anthropologue Carlos Castaneda comme guide, mais rien ne se passe comme prévu. Castaneda ne se présente pas au rendez-vous fixé par le producteur. Fellini y rencontre entre autres Alejandro Jodorowsky et Jean Giraud alias Moebius. C’est cette aventure très mystérieuse, à la frontière du paranormal, que narre avec humour la bande dessinée de Manara. Fellini y est remplacé par Snaporaz, son alter ego à l’effigie de Marcello Mastroianni. À ce récit, le cinéaste ajoute une sorte de prologue à Cinecittà avec des personnages complètement étrangers à l’histoire initiale et qui font quand même le voyage avec lui. L'ouvrage comporte également deux récits complets de Manara évoquant l'univers de Fellini, des dessins ainsi que des propos des deux auteurs.

 

Casterman – Edition originale de 1990.

123 pages – 30,5 x 23 cms – 955 grammes.

Quelques ( inévitables mais infimes ) marques de frottements sur l’arrière de la jaquette de protection et un tout petit choc en bas de tranche… mais l’ensemble est quasi-parfait et en très très bon état, nickel : 15 €uros. / Vendu ! - Temporairement indisponible.

 

Manara et Fellini-01.jpg

 

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De 14,95 à 20,90 sur Priceminister.

Manara et Fellini-02.jpg 

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Fellini a voulu voir Tulum

 

Dans les années 1980, le cinéaste italien avait fait un voyage au Mexique dans l’idée de tourner un film inspiré des écrits de Carlos Castaneda. Le film n’a jamais vu le jour. Les raisons ? Aussi ésotériques que les livres de l’anthropologue péruvien.

 

Octobre 1984. Federico Fellini reçoit un coup de téléphone alors qu’il se trouve sur un plateau de Cinecittà, en pleine préparation de son film Ginger et Fred.

— Carlos est ici. Tu veux le voir ?

 

Cela fait quinze ans que Fellini cherche à rencontrer Carlos Castaneda. L’auteur de L’Herbe du diable et la petite fumée (1968), Voir (1971) et Voyage à Ixtlan (1972), des livres publiés dans le monde entier, qui suscitent curiosité et admiration. Il révèle dans ces ouvrages une part de la sagesse d’un supposé Indien Yaqui se présentant sous le nom de don Juan Matus, qu’il aurait connu dans le désert de Sonora, lors d’une enquête menée dans le cadre de ses études d’anthropologie à l’université de Californie. Ce sorcier, comme l’affirme Castaneda dans son récit à la première personne, l’aurait pris comme apprenti et lui aurait révélé les préceptes ancestraux de son peuple, les effets psychotropes du peyotl et les puissances surnaturelles que les hommes pouvaient parvenir à dominer. Fellini a le projet de réaliser un film inspiré des livres de Castaneda, mais il n’a pas trouvé le moyen d’en acquérir les droits.

Quelques années plus tard, en 1988, dans le défunt hebdomadaire L’Europeo, il racontera cette rencontre nocturne avec Castaneda dans un hôtel de Rome : « A l’heure dite, j’ai vu arriver un homme petit, trapu, brun : un Sicilien, un gros Sicilien avec des dents blanches brillantes, aux manières affables, cordiales. Quelqu’un de très jovial : aucun trait romantique qui puisse évoquer un quelconque envoûtement. Le sourire du Mexicain [ en fait Castaneda était péruvien ], qui fait penser aux Calabrais, aux Napolitains, les cheveux ondulés et brillants, les sourcils très noirs, l’œil un peu globuleux, mais affable, curieux. Un regard touchant, un côté convivial et tactile, une manière de s’assurer que vous êtes là et que les autres sont ici avec vous. « My dear friend. » Cher ami ! Nous nous sommes donné l’accolade. »

 

D’autres metteurs en scène, comme Alejandro Jodorowsky, avaient tenté en vain de réaliser un film inspiré de l’oeuvre de Castaneda. Apparemment, l’écrivain avait choisi Fellini, et vice-versa. A Rome, ils se voient plusieurs fois. Castaneda, tel un oracle, insistait sur le fait que le moment était propice pour faire le film. Il voulait convaincre Fellini de tourner au Mexique, alors que ce dernier disait qu’il pouvait réaliser des décors de paysages mexicains à Cinecittà. Ce sera leur premier désaccord. Le cinéaste le présente à son producteur, Alberto Grimaldi. Fellini veut remettre à plus tard la rencontre, parce qu’il est sur le point de commencer le tournage de Ginger et Fred, mais Castaneda l’en empêche : il lui dit que le rendez-vous suivant doit avoir lieu immédiatement à Los Angeles.

Le voyage est financé par Grimaldi, en 1984, mais Fellini ne tournera jamais le film. De retour à Rome, le cinéaste raconte à ses amis que Castaneda s’est volatilisé, mais que lui et ceux qui l’accompagnaient viennent de vivre un voyage étrange, ponctué de messages anonymes [ trouvés dans les chambres d’hôtels ], de coups de fil menaçants, de signaux ésotériques. La légende noire de ce film non tourné se cristallise en 1986, quand le Corriere della Sera publie, sous le titre Viaggio a Tulun (sic), un scénario que le cinéaste a écrit en collaboration avec son scénographe Tullio Pinelli, accompagné d’illustrations de Milo Manara. Le quotidien présente le texte comme un scoop sur ce que va être le prochain film de Fellini. Le scénario raconté est inquiétant, mais le message sur lequel il se termine l’est plus encore : « Les faits ici présentés se sont produits dans la réalité. »

 

(…)

 

Dans les dernières années de sa vie, Fellini n’est pas parvenu à réunir les fonds pour faire le film et il a transformé en bande dessinée, avec des dessins de Milo Manara, le scénario qu’il n’avait pas pu porter à l’écran. Viaggio a Tulum est paru en 1990 chez Rizzoli [ et en France chez Casterman, sous le titre Voyage à Tulum ], Manara en a fait une histoire érotique, où Fellini, qui apparaît dans certaines planches, est figuré parfois sous les traits de Marcello Mastroianni. La réalisation de la bande dessinée a été menée tambour battant : Fellini donnait les ébauches à Vincenzo Mollica [ ami de Fellini, spécialiste de la BD et critique de cinéma, qui a fait se rencontrer Manara et le cinéaste ] et celui-ci les envoyait par fax à Manara, qui se trouvait à Vérone. Mais le sortilège mexicain continuait d’opérer. Ils se sont mis à recevoir d’étranges appels téléphoniques. « Ils voulaient savoir ce que nous faisions. C’était un groupe italien lié aux expériences de Castaneda, c’est-à-dire à son mode de pensée. »

Si, dans un premier temps, Fellini a prévu que le personnage de Carlos Castaneda figurerait dans la bande dessinée, ces appels anonymes l’amènent à y renoncer. Il modifie le début de l’histoire en la rendant bien plus surréaliste, ce qui n’est pas pour déplaire à Manara : plus qu’un rêve, la BD serait un grand cauchemar allégorique sur l’apocalypse du monde telle qu’ils étaient en train de la vivre.

Fellini a toujours pensé que son projet cinématographique sur les livres de Castaneda avait sans doute irrité et inquiété certaines personnes, qui devaient appartenir à une sorte de secte dont dépendait certainement l’anthropologue. En somme, d’après lui, les menaces provenaient d’une organisation dépassant la personne du mystérieux écrivain. Et comme le cinéaste était très superstitieux, il a préféré ne pas porter cette histoire à l’écran.

 

(…)

 

Fellini avait beaucoup de points communs avec Castaneda. L’un comme l’autre étaient capables de changer le regard des autres. Egocentriques, ils faisaient tous deux l’objet d’un culte et n’avaient pas leur pareil pour raconter des histoires auxquelles ils finissaient par croire eux-mêmes. Et c’est avec un art consommé qu’ils inventaient leur propre personnage et construisaient une sorte de mythologie d’eux-mêmes.

Fellini ne s’est peut-être jamais rendu compte que, à l’égal de Mastroianni dans la BD de Milo Manara, il avait été lui-même sans le savoir le personnage d’un film. Un film dont Castaneda tirait les ficelles. Mais on peut aussi imaginer qu’en grand visionnaire qu’il était, le cinéaste ait compris dès le début la manipulation de Castaneda et s’en soit servi pour que nous soyons tous les acteurs éternels du film qu’il n’a jamais tourné.

 

http://www.courrierinternational.com/article/2011/05/19/fellini-a-voulu-voir-tulum 

Manara et Fellini-03.jpg

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