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06/02/2015

SCHOOL OF VIOLENCE

 

SCHOOL OF VIOLENCE : « We the People… ? »

( LP / 1988 / USA )

 

Thrash façon années 80… allongé d’une ch'tiote rasade de Hardcore façon années 80…

Bref, THRASH-core façon années 80 ! Héhé !

>>> http://www.discogs.com/School-Of-Violence-We-The-People/release/2138620

 

Etat = le bas de la pochette est entamé par un petit « cut de douane » (cf. la flèche indiquant l'emplacement dudit défaut sur la photo), et présente quelques petites marques de manip' et/ou stockage ! (Le disque a un peu « marqué » le carton, mais très légèrement !)

Mais le vinyl est – lui – absolument parfait… et comme neuf ! (Neuf de chez neuf même… je ne pense pas qu’il ait été écouté plus d’une seule et unique fois !?!!)

Excellente « seconde main » !!!

DEATH Records / 10 titres – 32 mns / Insert avec paroles.  

Collector ! >>> 8 €uros. / disponible.

 

School of Violence.jpg

 

 

 

14/05/2013

TAKASHI - Kamikaze Killers

 

TAKASHI : « Kamikaze Killers »

( 12’EP / 1983 / USA )

 

La toute première release du (maintenant cultissime) label « Mongol Horde » (Virgin Steele, Thor, Alien…). Un Heavy-Glam-Rock bien catchy qui ne pourra que séduire les fans des deux premiers MÖTLEY CRÜE et/ou des débuts de RATT.  

 

Face A) : Strangler / Kamikaze                    

Face B) : Mad Max / Playboy Girls

Mongol Horde Records 001

 

Pochette = 3 petits défauts (un tout petit choc dans le coin supérieur gauche, un petit scotch dans le coin inférieur droit et une étiquette de prix en haut à droite), mais l’ensemble est très bien et peut aisément être estampillé entre Moyen+ et Bon…

Vinyl = très bon… comme neuf !

 

>>> 6 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible. 

 

TAKASHI.jpg Ailleurs = entre 6 et 8 €uros sur discogs.

 

http://www.myspace.com/takashiny

 

 

28/03/2013

The Masturbation Session

 

28 janvier…

28 avril…

Trimestre du VINYL et des comics !

 

G.G ALLIN : « The Masturbation Session »

( 10’ MLP / 1995 / USA )

 

Side A) Tough Fucking Shit / Sluts In The City     

(With THE MOTOR VITY BAD BOYS… à savoir : Wayne KRAMER et Dennis THOMPSON !!!!!!)       

Side B) The Masturbation Session / Radio Commercial, 1980.

I Wanna Be Your Dog (Live NY, 1980)

Alive Records – ALIVE0011/10

 

Excellent état ! Quelques petits frottis sur les bords (à certains endroits) et dans les coins, mais vraiment trois fois rien ! Et le vinyl en lui-même est comme neuf !

>>> 11 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

G-G-Allin_Masturbation-Session-MLP_01.jpg

G-G-Allin_Masturbation-Session-MLP_02.jpg

G-G-Allin_Masturbation-Session-MLP_03.jpg

poupupou

21/03/2013

VENOM : Possessed

 

28 janvier…

28 avril…

Trimestre du VINYL et des comics !

 

VENOM : « Possessed »

( Picture LP / 1985 / U.K )

 

Picture Disc  / Neat Records ‎– NEAT P 1024 / 1985

> http://www.discogs.com/Venom-Possessed/release/2460614

Ne pas confondre avec la ré-édition 2002 de chez Earmark (Italie) sur laquelle le logo Venom (en rouge) n’apparaît pas sur l’image de face A.

> http://www.discogs.com/Venom-Posessed/release/1743522

 

Etat = Comme neuf ! Nickel !

>>> 22 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

venom,possessed,black metal,picture lp,collector Ailleurs = entre 17,50 et 28 €uros sur discogs

 

 

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Tracklist :

Side A)  Powerdrive / Flytrap / Satanachist / Burn This Place (To The Ground)                      

Harmony Dies / Possessed                  

Side B)  Hellchild / Moonshine / Wing And A Prayer / Suffer Not The Children                      

Voyeur / Mystique / Too Loud (For The Crowd)                       

 

Martial Mayhem Massacre : Mantas

Volcanic Vibrations And Death Breath : Cronos

World War Three : Abaddon

Producer : Keith Nichol  

18/03/2013

ADX - Weird Visions

 

28 février…

28 avril…

Trimestre du VINYL et des comics !

 

A.D.X : « Weird Visions »

( LP / 1990 / France )

 

Noise Records.

Pochette = B+ / Vinyl = TB >>> 14 €uros. / Vendu ! Indisponible.

 

Ecouter > http://www.youtube.com/watch?v=KHe1EvnFpeU&feature=related

 

ADX - Weird Vision.jpgAilleurs = De 15 à 35 €uros sur discogs.com

29 €uros chez Adipocere / de 14,98 à 29,99 €uros sur priceminister.

 

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ADX est tout simplement considéré comme le meilleur groupe de heavy metal ayant jamais existé en France, avec un gabarit suffisamment solide pour rivaliser avec les productions étrangères. C'est dans cette optique qu'a été conçu Weird Visions, faire de la concurrence au heavy metal allemand avec les Gamma Ray, Running Wild qui rencontraient un succès fou à l'époque. ADX va alors être supporté par le label Noise, ce qui ne se fera pas sans concessions. La plus évidente de toute étant l'obligation imposée par Noise de chanter en anglais ; la langue française étant trop restrictive pour prétendre à une carrière internationale. 10 ans plus tard, Heavenly a eu exactement la même démarche pour son 1er album, lui aussi signé chez Noise. En échange de ça, ADX bénéficie pour la 1ère fois de sa carrière de gros moyens, avec une production "à l'allemande" irréprochable. Weird Visions sonne même bien mieux que les albums de Running Wild ou que Heading for tomorrow de Gamma Ray. Mais avec cette signature chez Noise, ADX va un peu perdre ce qui faisait sa spécificité, et notamment avec l'absence du chant en français. Le chanteur ne se débrouille pas trop mal avec l'anglais, mais le français lui convenait bien mieux. (…)

Musicalement, ADX voit son heavy metal "germanisé" et certains refrains comme les choeurs de Lost generation me font vraiment penser à du Running Wild, le côté "en avant moussaillon" en moins (comme sur le refrain de Raging Fire de l'excellent Port Royal). Mais cela reste du speed mélodique couillu comme a toujours su le faire ADX. Sans être le meilleur album, Weird Visions contient son lot de "classiques", enfin si le groupe n'avait pas abandonné le français, ils auraient été reconnus comme des classiques par les fans. Le fait d'être chanté en anglais les a fait un peu passé inaperçu, c'est dommage car des titres comme King of pain, Sign of the time ou Behind the mirror sont incontournables dans le genre. ADX réussit l'exploit d'être à la fois mélodique et burné ce qui parait incroyable de nos jours. Mais le speed mélodique (ADX eux-mêmes ont toujours revendiqué cette étiquette) à cette époque n'était pas encore enfantin comme maintenant. Le meilleur exemple est illustré par l'excellente reprise de Rainbow, Kill the King, qui est ici très puissante, en tout cas bien plus que la version poussive qu'en avait faite Stratovarius.

 

( http://www.hardrock80.com/groupes/ADX/WeirdVisions.htm )

 

La scène française des années 80 et '90 fut extrêmement prolifique, comme tout le monde le sait : KILLERS, TRUST, NIGHTMARE, BLASPHEME, VULCAIN et tant d'autres ont été les fleurons d'une lame estampillée "heavy français", qui est retombée par manque de structures et de public… Et ADX fait sans conteste partie de celle-là ! Cet album est probablement le plus abouti du groupe avant le split provisoire qui s'en est suivi : 11 titres ciselés dans l'acier, nerveux et très techniques, défendant haut l'étendard du speed ! Il n'y a vraiment rien à jeter, tout est entraînant et bien trouvé ! Le chant est très personnel, encore clair mais déjà rocailleux et viril : il n'a donc pas pris une ride… Il est d'ailleurs progressivement passé en anglais afin de mieux s'exporter, alors que le français était la règle dans les '80. Et les textes sont plus fouillés que la moyenne, à connotation onirique et historique, avec par exemple Lost generation, une chanson bien écrite sur "l'arrière" pendant la guerre 14-18… Et la production qui est l'apogée du numérique pour l'époque, avec un son rond et plein, qui rend bien tranchant les guitares, juste comme il le faut. Une pochette énigmatique dévoile une main tenant les cartes d'un tarot de mauvaise augure…

L'album de la maturité, sans aucun doute ! Un joyau de metal français !

 

( http://lahordenoire.free.fr/chronique.php?art=14  )

07/02/2013

KRAFTWERK - Autobahn

 

28 janvier…

28 février…

Mois du VINYL et des comics !

 

KRAFTWERK : « Autobahn » ( LP / 1974 / Germany )

La pochette, qui ne présente que 2 ou 3 infimes marques de manipulation est quasi parfaite…

Et le vinyl est lui aussi comme neuf ! Nickel-chrome de chez nickel-chrome !

Ce qui fait que vous l’avez compris, c’est un exemplaire à classer TB/TB.

Collector ! >>> 15 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

KRAFTWERK - Autobahn 01.jpg

 

Ailleurs = entre 15 et 40 €uros sur discogs.

( Un exemplaire à 5,80 €uros, mais sans la pochette ! ) 

Entre 12,50 et 25 €uros sur ebay / entre 9 et 15 €uros sur priceminister

Le prix moyen pour du bon/très bon état chez des vendeurs pro’ oscille aux alentours de 15 €uros. 

 

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KRAFTWERK - Autobahn 02.jpg

 

Surfing on the Highway. 

Tout comme les autoroutes allemandes, Autobahn, ne connaît pas de limites. C’est un peu un coup de poker réussi. Parier sur le succès du synthétiseur peut sembler une évidence aujourd’hui. En 1974, c’était loin d’être le cas.

Mais n’allons pas trop vite en besogne. Si les deux premiers Kraftwerk avaient réussi à susciter un intérêt non négligeable dans certaines sphères, ils cultivaient une impression d’entre-soi en ne proposant au final qu’une musique pour musiciens, réservée aux initiés, une situation à peine nuancée par la sortie de Ralf And Florian en 1973. Avec Autobahn, Kraftwerk allait démontrer deux choses : qu’il était possible de conquérir les foules tout en étant un groupe allemand dans un marché dominé par l’hégémonie anglo-saxonne et qu’il était tout aussi possible d’enthousiasmer avec une musique électronique « froide ». Pour le moment, le duo se devait seulement d’exister autrement qu’en tant que simple curiosité et c’est ainsi qu’il conçut d’établir le pont, le chaînon manquant entre les expérimentations avant-gardistes et la musique pop. Symptomatique comme bien souvent de cet état de fait, cette position à la croisée des chemins allaient leur faire gagner culte et universalisme mais aussi moquerie et rejet. 

Natura non facit saltum ou la nature ne produit pas de bond, édictait Newton. La musique produite par Kratfwerk sur Autobahn vient remettre en cause ce principe en effectuant un véritable saut quantique, sans commune mesure avec ce que le groupe a fait jusque là, sans comparaison avec ce qui se faisait à l’époque. Le concept développé sur toute une face de vinyl pouvait les rapprocher d’une certaine façon de composer propre au rock progressif. Mais Autobahn, est avant tout un titre pop. Très terre à terre, bitume à bitume pourrait-on même dire. Loin des trips cramés de l’espace de leurs compatriotes. Parler de l’autoroute et donc de la voiture, c’était agile. Cela parlait à tout le monde et en particulier aux Allemands. Quand on connaît ce que revêt le mythe de la route aux USA et ce que représente l’automobile en Allemagne à cette époque on saisit un peu mieux le succès du concept. En outre, et pas des moindres, c’était une vraie chanson avec des paroles. Des paroles transfigurées en élément rythmique, transformées en mélodie par l’intermédiaire du vocoder, qui bien que lapidaires, étaient scandées en allemand à la manière d’un titre des Beach Boys. Oui, une chanson, avec une construction des plus classiques, qui allait être accentuée avec la sorti du single, ramené au format court traditionnel.

Autobahn, c’est vingt-trois minutes d’échappée à travers la matière sonore et synthétique, la quintessence même du morceau electro-pop. Ce blues robotique adopte définitivement la vision motorik rejoignant Neu ! dans sa quête effrénée du rythme circulaire, répétitif et métronomique. A la différence qu’ici, c’est la machine qui garantit la régularité des pulsations, produisant une transe quasi-parfaite, qui préfigure la techno avec quelques années d’avance. 

Le reste de l’album ramène Kraftwerk quelques années en arrière. Kometenmelodie 1 et Kometenmelodie 2 ne s’appréhendent qu’écoutés l’un après l’autre, le premier pouvant être vu comme la version de base du morceau, le second étant en quelque sorte le remix définitif et entraînant de ce dernier, comme pour signifier qu’une composition est une matière en perpétuelle évolution. La succession des deux illustre bien la transition entre le Kraftwerk vaporeux, encore vaguement cosmique et celui qui se fraie une voie dansante entre mélodies et rythmiques simples. Comme pour marquer le coup, Mitternacht est un pied de nez à la scène Kosmische, tranchant par son aridité et sa concision toute relative. Plutôt qu’à « tirer des plans sur la comète », Kraftwerk entendait assumer son statut d’étoile filante, en sortant de sa manche ses nappes placebo si la situation l’exigeait. En renouant avec l’expérimentation, Kraftwerk se travestissait en endossant ironiquement les habits hermétiques de la musique concrète. Il trichait un peu avec le manifeste de la volkmusik mais le public s’en accommodait. 

La pochette véhicule un idéal, une autoroute repensée, fluide, avec le soleil et la campagne environnante. Morgenspaziergang est un peu un clin d’œil à cette illustration. Il boucle la boucle. Avec sa flûte à bec et son piano, cette petite promenade est le dernier testament d’instruments acoustiques dans la musique du groupe. Depuis le titre d’ouverture, on a en quelque sorte effectué un voyage dans le temps en revenant aux débuts du groupe, avec une vision un peu remaniée certes. Mais tout est fait comme s’il fallait tirer un trait sur le passé. Autobahn représenterait l’année zéro de la carrière de Kraftwerk. Le reste ne serait que de l’archéologie. Même si je ne subodore que partiellement à cette analyse on ne peut que se soumettre devant l’originalité, le caractère pionnier d’une telle œuvre qui nostalgie aidant, reste un sommet d’inventivité electro-pop.

( http://www.destination-rock.com/albums/album-kraftwerkauto.html ) 

 

Autobahn is an iconic record made up of several essential elements : the graphic motorway symbol on the cover, the slamming of a car door and starting of an engine that precede the music, the rasping vocals and the whoosh that imitates the approach and passing of cars. It’s a 22-minute synthetic symphony to the possibilities of road travel that combines seemingly innocent enthusiasm with a note of deep caution.

Its melodic progress and the sheer pleasure taken in exploring the sonic possibilities of the newly available synthesizer make it as accessible to an eight-year-old as the most wizened critic. Although the lyrics of the title track hint briefly at the presence of nature in the sun’s glittering rays and the green edge of the motorway, it’s roundly addressed by the suite on the original b side of the record. Although less familiar, the four instrumentals represent a counterbalance to the harsh industrial daylight of Autobahn. They trace a journey that takes in night-time comets, an eerie midnight and ends with a morning walk serenaded by flutes and acoustic piano.

The motorway is an all-too-familiar presence in our lives, but listen to parts of the title track – for example, the passage that begins 10 minutes in – and it’s clear that Kraftwerk are holding up a mirror to the world to reveal its strangeness. Although the group have occasionally been chastised for failing to present a more critical perspective, Autobahn’s deliberate ambiguity is an essential aspect of art and has ensured its longevity 35 years after its original release.

Autobahn is the first of eight albums that Kraftwerk have chosen to re-master and re-release. Although a controversial decision in some quarters, its predecessors Kraftwerk 1 and 2 are lesser works that lack the thematic unity and musical distinction of the rest of the group’s oeuvre. As with the other reissues, much effort has clearly been devoted to the remastering and presentation of the work and the uniting of Emil Schult’s illustrations with the UK motorway symbol is particularly satisfying. Absolutely essential.

 

Colin Buttimer  / BBC Reviews

( http://www.bbc.co.uk/music/reviews/jzj9 )

 

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KRAFTWERK : "Autobahn", l'intégralité du morceau éponyme.

 

 

KRAFTWERK : "Mix" (40 tracks / 72 mns)

 

 

28/01/2013

Epicus Doomicus Metallicus

 

Du lundi 28 janvier…

Au jeudi 28 février…

 

Mois du VINYL et des comics !!!

 

CANDLEMASS : « Epicus Doomicus Metallicus »

( LP / 1986 / Suède )

 

La version LP de chez Black Dragon, 1986 !!!!!

Tout amateur de Doom sait ce qu’est cette rondelle et ce qu’elle représente pour le style !!!

La pochette présente quelques menues traces de frottement / stockage sur le noir ( but then, rien que de tout à fait normal pour un disque de 25 ans d'âge ! ) mais le vinyl, lui, est parfait !

>>> 40 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

 

Ailleurs = 38 (Suisse) ou 50 €uros (Grèce) sur discogs

De 45 à 68 €uros sur musicstack.com

 

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11/12/2011

ACE : Ballroom Blitz

 

ACE : « Ballroom Blitz »

( 12’EP - Maxi 45t / 1986 / France )

 

French Hard-Rock / Maxi 45t ULTRA-RARE !!!…

( NEW et MUSIDISC  estampillé : « Proposé par ENFER MAGAZINE » !!! )…

KILLERRRR COLLECTOR !!!…

Pochette = M / Vinyl = TB  : 12 €uros / Vendu !

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Ailleurs = …

30 €uros sur priceminister pour un ex. avec pochette nickel.

( http://www.priceminister.com/offer/buy/3199551/Ace-Ballroom-Blitz-Maxi-45-Tours.html )

25 €uros sur musicstack ( http://www.musicstack.com/item/188208619 ) et/ou cdandlp.

35 €uros sur adrenalynrecords.com ( http://www.adrenalynrecords.com/item/1/0-110401-0-1-0/9361145/ace-ballroom-blitz-lp-.html ).

 


 

Biographie du groupe : http://france.metal.museum.free.fr/groupes/a/ace.htm